Mediapart, 08/11/2019
Avec Chowra Makaremi, anthropologue, chargée de recherche CNRS
« Ça ne se joue pas au niveau du rapport à l’Etat où on va de bureau en bureau. Ce sont des démarches hyper dangereuses. Et comme les gens sont terrorisés par ce qui s’est passé, il n’y a pas de recherche. Donc à l’époque, personne ne m’a mis de bâtons dans les roues parce que je me suis bien gardée de faire des démarches publiques. D’ailleurs, il n’y a aucune investigation publique faite par des familles de personnes ayant été exécutées dans les années 80, simplement parce que c’est trop dangereux. »
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